Asti
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Date d'inscription : 28/10/2006
 | | Sujet: Abbar - TOP - Coupable Lun 2 Fév - 14:59 | |
| Abbar - TOP - 26 Octobre 1455 - Coupable - Citation :
- Juge : Nith
Procureur : Tekilabanda
Accusé : Abbar
Témoins de l'accusation :
- Aegirson
-
Témoins de la défense :
-
- Acte d'accusation : - Citation :
- Monsieur le juge !
Je viens encore vous presenter des fourmis qui se suivent la tete au cul de l'autre sans regarder plus loin.
Tir groupé aujourd'hui, y'en a 4 !
Or voici la premiere fourmi qui ne sait apparament pas qu'un blocus existe entre un duché merveilleux qu'est la Normandie et l'autre duché.
Enfin, elle ne sait pas ? elle n'en a pas presenter tout comme ses collegues. Nous les jugerons individuellement. Cette fourmi, premiere arrivé sur mon bureau s'appelle Abbar.
Ahh mais remarque, peut-etre est-elle arrivée en derniere car elle est en haut de la pile !! Faudrait peut-etre que j'appelle le prevot en temoin pour savoir ?
ENFIN BREF !
Toujours est-il que conformement au blocus de cette frontiere entre Avranches et l'autre ville, il est interdit de passer sans laisser passer.
Breton, veuillez repondre de vos actes !
J'appelle Aegirson à la barre qui a si merveilleusement repéré vos vilaines tetes qui nous expliquera comment a -t-il fait pour avoir des yeux aussi perçants ou si bien, ces fourmis constituaient de si grosses taches sur le sol d'Avranches qu'il a meme du vous proteger tant les normands voulaient vous ecrabouiller !
Tekilabanda
Procureur
23/10/1455 Première plaidoirie de la défense : - Citation :
- Abbar se présenta devant l'assemblée et prit la parole.
Messire Tekilabanda, je n'aime point êtres abaisser à l'etat de fourmi.
Je demande a ce que respect soit rendu dans ce proces.
Et pour reprendre vos mots de la plaidoirie de Dame Chikaka...
"Ca me trouble tout ça ! Bah oui, comment peut-on suivre le cul d'un breton ??"
Ce n'est pas trés distingué et je pense que mon cul sent aussi bon que le votre!!!
Votre honneur, je passe avec mon groupe sans animositée aucune, je traverse la Normandie en toute discretion et en paix.
Je rapelle respectueusement à la cours que le blocus a été levé, donc l'interdiction n'a plus lieux.
Je tiens a signalé aussi que je suis Soldat de l'Ordre de l'Hopital de ST Jean de Jerusalem, reconnu par le Roy Levan en personne, donc j'ai tous droit de traversé le territoire de France librement sans autorisation aucune et me porte garant de mes compagnons de routes. Requisitoire de l'accusation : - Citation :
- Sir, vous etes considérés comme une fourmi car quasiment tous les jours, nous assistons à une file de breton traversant la frontiere sans autorisation. Et oui, il faut une autorisation, le blocus n'a jamais été levé et s'il y a treve, la guerre entre DR et Bretagne n'est pas officielement reglée.
Qd à mon cul, je ne vous laisserais pas le sentir car je ne peux considerer que des bretons traversent sans autorisation la Normandie. Je demande 1 jour de prison avant que ces personnes rentrent chez elles.
Tekilabanda
Procureur
25/10/1455 Dernière plaidoirie de la défense : - Citation :
- Avant de donner un jour de geole a moi et mes compagnon, je vous invite à prendre contact d'urgence avec mon Grand Maître Ursin, mais je pense qu'il va directement vous contacter, sur ce, je ne vous salut pas, une fourmi n'a pas de savoir vivre!!!
Si je pouvai, je vous botterais volontier les fesses pour vous apprendre la politesse et le respect d'autrui, vous pouvez toujour m'envoyer une missive pour regler cela en bon gentilhomme que nous sommes à l'endroit ou bon vous semble Messire Tekilabanda, mais en tant que bon soldat Hospitalier, je me contenterai de vos excuses les plus plates!!! Témoin de l'accusation "Aegirson": - Citation :
- Aegirson se présenta à la barre et saluat l'assistance ainsi que le juge et les avocats.
Votre honneur, pour ceux je me nomme Aegirson, douanier à Avranches et ne trouvant pas de beaux spécimens de papillons, chasseur de bretons.
Ce matin, je travaillais à mon bureau consultant les entrées quand 3 bretons dont le prévenu en la personne de Abbar ci présent, tentaient de passer la douane au détriment de notre loi sur le blocus entre la bretagne et notre bonne Normandie.
Encore et toujour des bretons, n'ont-ils toujours pas compris qu'ils ne sont les bienvenus que dans nos géoles ?
Donc j'ai tout de suite fait le nécéssaire pour que le prévenu soit apréhendé ainsi que ses comparses, entrés au même moment. Témoin de l'accusation "nom": - Citation :
- .
Témoin de la défense "nom": - Citation :
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Témoin de la défense "nom": - Citation :
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Verdict : - Citation :
- Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.
Messire,
Ce n'est pas parce que vous appartenez à un Ordre, même si celui ci à obtenu la reconnaissance royale, que vous avez le droit de passer où bon vous semble. D'une part, il est de bon usage, monsieur le gentihomme, de prévenir les services de police du Duché ou Comté dans lequel on arrive, ne serait-ce que pour faire connaitre son identité et ses intentions. Vous comprendrez que nous ne pouvons pas faire confiance aux premiers abors à toutes les personnes qui arrivent par le chemin entre Avranches et Fougères...
Je vous informe aussi que la guerre n'est malheureusement pas fini. Seule une trêve est en ce moment active. C'est pourquoi la frontière entre la Normandie et la Bretagne reste fermée, et ce tant que le Grand Prévôt de France, le Grand Maistre de France ou la famille Royale ne donne pas d'ordre contraire.
Finalement, j'attends toujours une missive de votre Grand Maistre... Sinon, cela ne vous empêche pas de devoir respecter les lois des Duchés et Comtés que vous traversez...
Bien que vos conversations, messires, concernant vos postérieurs respectifs, soient intéressantes, euh ... non, en fait pas du tout... je me dois de conclure cette affaire.
En vertu de la loi sur le blocus éditée en Septembre 1455, je vous reconnais coupable d'avoir franchi la frontière normande sans autorisation. Pour cela, je vous condamne à une journée d'emprisonnement. Passé cette peine, vous pourrez reprendre la route avec vos compagnons, mais vous devrez informer le Prévôt de Normandie, dame Arianrod, de votre localisation tant que vous serez sur le territoire de Normandie. Par contre, si une affaire de brigandage de votre part parvient à cette Cour, la peine de mort sera requise contre vous.
Justice a été rendue!
fait à Rouen,
le 26 Octobre 1455
par Nith, seigneur de Massy,
Juge de Normandie
Le prévenu a été condamné à une peine de prison de 1 jour. | |
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